NOMINATIONS - QUE DIT LA LOI SUR LA GÉOPOLITIQUE ET NOS DIVERSITES ETHNIQUES ?
LEGIGABON, est-ce normal une telle concentration ethnique ?
Peu avant les élections présidentielles de 2016, Monsieur Renée Ndemezo'Obiang (le pain l'argent les plaisirs), alors président du parti politique "Démocratie Nouvelle", avait saisi la Cour Constitutionnelle
Selon lui, sur les 117 commissions électorales locales et consulaires, les ressortissants de la province du Haut-Ogooué, reconnaissables par leurs patronymes, occupaient 44 postes de présidents desdites commissions, tandis que ceux appartenant à l'ethnie Fang n'en présidaient que 18 ;
Il sollicitait donc de la Cour Constitutionnelle, le rééquilibrage de ces nominations "afin de garantir une équité dans la distribution des postes et une sérénité indispensable dans le travail ardu des présidents des commissions électorales afin d'éviter, selon lui, d'augmenter les tensions sociopolitiques déjà très palpables dans cette atmosphère pré-électorale qui augure d'une présidentielle à hauts risques si l'actuelle répartition est maintenue"
Réponse de la Cour Constitutionnelle et de Ya Mado :
Mouf ! Aucun fondement juridique, aucune règle de droit violée !
Personnellement c'est le ratio hommes/femmes qui m'a choquée
Gardons néanmoins en mémoire le conflit Hutus/Tutsis au Rwanda, et ce même si les nombreux mariages et brassages ethniques peuvent nous rassurer sur la stabilité de notre pays de côté là.
Notre avis : Koh les ministères à midi sentent le Tchep . En tout cas, la primature sentira désormais le beurre de cacahuète
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